Ces mots mobiles ont en eux une certaine liberté, une fraîcheur sure que d’autres plus sûrs n’ont pas ;
« oisif et sans entrave » titre d’une œuvre de Fabienne Verdier qui dit aussi : « Le vent est-il en contradiction avec lui-même ? La pensée, les profondeurs de l’être ne sont-elles pas libres, selon les circonstances, d’aller où bon leur semble ? »[1].
« oisif et sans entrave » titre d’une œuvre de Fabienne Verdier qui dit aussi : « Le vent est-il en contradiction avec lui-même ? La pensée, les profondeurs de l’être ne sont-elles pas libres, selon les circonstances, d’aller où bon leur semble ? »[1].